Lanceurs d’alerte : le milieu médico social – LE FILM
Bernadette et Céline dénoncent des dysfonctionnements au sein de l’Institut Medico-Educatif dans lequel elles travaillent, à des périodes différentes. Les deux sont pourtant témoins des mêmes choses…Les enfants handicapés ne sont pas respectés, tant dans leur intimité que dans leur prise en charge…
Une bataille voire une guerre se met en place…elles deviennent les femmes à abattre et tous les coups sont permis…
Nous revenons avec elles sur cette longue descente aux enfers…De ce jour où elles prennent la parole pour dénoncer ce qu’elles n’acceptent plus à aujourd’hui…
NB: ce film est sous licence creative commons. (license : CC-BY-NC-ND-4.0: Attribution-NonCommercial-NoDerivs 4.0 International)
Merci de contacter Mediacoop (producteur et distributeur de ce film) pour toute diffusion.
4 réflexions sur “Lanceurs d’alerte : la vie d’après épisode 1: le milieu médico-social”
lanceurs d’alertes : le milieu médico-social Après avoir visionné ce petit film un mot me vient : respect.
Vous êtes de belles personnes et votre courage ne peut être vain. Puisse-t-il au moins servir d’exemple. Un jour le nombre fera la force.
Cela serait bien si vous vous Cela serait bien si vous vous intéressez au sujet de messsieurs dames les journalistes. On ne dit pas personne handicapée c’est stigmatisant. On dit personne en situation de handicap sinon vous participez a une violence sociétal ajouté à la violence institutionnelle. De plus quand une personne decompense dans ce milieu on l envoie a l epsm intéressez vous a comment on fait prendre conscience a ces jeunes que c est pas leur maison. Aller en foyer d accueil médicalisé et en maison d accueil médicalisé où on laisse les personnes des journée entière devant la télé
LANCEURS D’ALERTE : LE MILIEU MEDICO SOCIAL Bravo mesdames!!!! Je suis entrain d’en faire aussi la triste expérience…… Le silence des pantoufles étouffe le bruit des bottes!
Je me pose une question, les Je me pose une question, les parents de ces enfants n’ont pas réagi ? Heureusement qu’il y a encore des résistantes, bravo.