« Comment cela, s’écrie-t-elle, je veux partager le sort commun, je veux rester en prison et comparaître »
C’est l’histoire du premier 1er mai en France, en 1890. C’est l’histoire d’un procès investi par l’Etat et par les anarchistes comme une tribune politique. C’est l’histoire d’une mise en scène théâtrale faite de joutes oratoires et d’effet de manche.