La semaine dernière, appelés par des membres d’une organisation d’extrême-droite, les forces de l’ordre ont procédé à un contrôle d’identité sur des militants de gauche alors en pleine discussion sur l’espace public.
D’après les témoignages, trois camionnettes et une dizaine d’agents auraient fait le déplacement.
Juste avant l’opération, les personnes contrôlées avaient elles aussi appelé la police face aux provocations des militants identitaires, installés sur la terrasse du café d’en face. L’alerte est pourtant restée vaine. Un deux poids deux mesures qui questionne.