« Me renvoyer dans mon pays, c’est m’envoyer à la mort »
« 9 heures » ne devrait pas être une heure pour pleurer. Pourtant, hier matin, devant la Police Aux Frontières de Gerzat, un couple et une femme seule ne peuvent retenir leur émotion. Ils sont convoqués, comme une dizaine d’autres personnes – qui ne se présenteront pas- sans savoir pourquoi. F. a la boule au ventre. Elle …
« Me renvoyer dans mon pays, c’est m’envoyer à la mort » Lire la suite »